Pas aussi célèbre que le Taj Mahal, le deuxième lieu à ne pas rater à Agra est le fort rouge. Ici, c'est un peu comme tous les forts en Inde, on visite pleins de cours et de palais, on trouve tout gigantesque et pourtant on en voit à peine le tiers. Nos pauvres monuments en France auraient l'air rachitique si on les mettait à côté.

A l'origine, le fort fut construit par Akbar à partir de 1564. L'empereur utilisa le grès de la région pour ériger les murailles (2,4 km de long).

La légende affirme que ses pierres de taille rouge feu, maintenues verticalement par des anneaux de fer, seraient jointes si étroitement que même un cheveu ne pourrait s'insinuer entre elles.

Shah Jahan (à qui l'on doit le Taj Mahal) fit démolir une bonne partie des bâtiments d'Akbar pour y construire ses quartiers impériaux.

Le fort rouge est en effet construit de l'autre côté du fleu Yamuna, face au Taj Mahal. C'est de ce site que Shah Jahan, gisant sur son lit de mort, aurait contemplé le Taj Mahal pour la dernière fois.

L'entrée extérieure

Vue extérieure de la muraille depuis l'entrée.

L'entrée intérieure

Vue intérieur des murailles

Entrée d'un palais

Détail des sculptures d'un palais

Entre d'un deuxième palais en grès rouge avce monture en marbre blanc

Vue extérieure

Deuxième vue extérieure le long du fleuve Yamuna (au delà des douves, complétement en arrière plan)

Un hall d'audience

Un bassin (vide)

Jardins et couloirs d'un palais

Trône en marbre noir pour les audiences publiques

Trône en marbre blanc pour les audiences publiques

Cour intérieure

Intérieur d'un palais en marbre blanc avec ornementations florales

Un palais

Tombe de John Russell Colvin, lieutenant-gouverneur anglais mort en 1857. Les monuments commémoratifs anglais sont assez rares en Inde, les habitants ayant semble-t-il encore gardé une bonne aversion de leur 300 années de colonisation.

Celui-là, pas sûr qu'il devienne mon ami.

Et le métier de policier, même en période d'attentats, ça a l'air assez cool.